il y a 2 mois
Bonjour,
Je viens juste donner mon expérience. En lisant je vois que vous nous proposez de rester sur Zyma D car étude à l’appui. Je prends Zyma D car ma belle mère m’en a donné car cela est prescrit en France. Je suis la posologie que le pédiatre m’a conseillé : 4 gouttes par jour. (C’est aussi ça qui est noté sur la notice) donc déjà la posologie est différente de ce que vous proposez.
À chaque fois, mon petit est en souffrance. Et je suis tout le temps collée à lui, il fait minimum 4 siestes par jour en peau à peau, beaucoup de portage en écharpe, etc. J’ai repris mes document d’hôpitaux belges. Et du coup ils conseillent PédiaKid et déconseillent Zyma D et l’autre marque que vous citez. Je voulais juste vous faire part de mon expérience.
Depuis que j’ai changé mon petit ne se tortille plus du tout, changement vue des deux jours des nouvelles vitamines !
Bonne journée.
La réponse de notre expert
WERNER Andréas Dr
Bonjour,
Vous décrivez une expérience personnelle, qui est certainement valable pour votre bébé.
Cependant :
- vous avez donné le double de la posologie recommandée en France
- PédiaKid est un complément alimentaire, non remboursé, non surveillé, avec des dosages de Vitamine D par goutte incertain et pas constant.
Je confirme donc que l’article mpedia est parfaitement à jour avec les recommandations de la Société Française de Pédiatrie et de l’ANSES : de donner un médicament, pas un complément alimentaire dans la supplémentation par Vitamine D. Les médicaments prescrits sont ZYMAD et ADRIGYL recommandés à 2 gouttes par jour pendant 2 ans.
Aucune étude ne permet de conclure qu’il existe un lien entre troubles digestifs fonctionnels du nourrisson et apport en Zymad, ce ne sont que des expériences rapportées, contre des centaines de milliers de bébé sous Zymad qui vont eux très bien. En revanche, les accidents liés à des surdosages dans le cadre de compléments alimentaires non adaptés, ont eux des conséquences délétères.
Nous pouvons admettre qu’un bébé soit inconfortable sous Zymad, dans ce cas nous proposons simplement l’autre médicament possible, et dans la majorité des cas, tout rentre dans l’ordre. En revanche, nous sommes vigilants et attentifs aux cas de surdosage possible et grave.
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