Quelles sont les précautions à suivre en altitude ?

Bonjour,

Le traitement par DIAMOX (Acétazolamide) est réservé à l’adulte et aux enfants de plus de 6 ans.
Il y a des effets indésirables multiples (métaboliques, endocriniennes, rénales, hépatiques, neurologiques, hématologiques, immunitaires, psychiatriques, gastro-intestinales, respiratoires etc.).
Je ne peux donc pas vous recommander ce traitement, ni en préventif ni en curatif.

Bonjour,

Vous risquez en effet des soucis pour vos enfants durant ce voyage.

– Problème de température
En été il faut se méfier des coups de soleil et de la chaleur : prévoyez crème solaire, chapeau, lunettes, boisson… En hiver il faut se méfier aussi du soleil, mais en plus du froid. Réservez les promenades aux meilleures heures ensoleillées de l’après-midi, mais limitez les sorties s’il gèle, surtout s’il y a du vent.

– Hypoxie.
A partir de 2000 mètres, l’oxygène diminue très légèrement. On ne ressent une gène qu’à l’effort. Le MAM (mal aigue des montagnes) existe au-dessus de 3000 mètres. Dans ces circonstances, il faut être très vigilant, car les signes sont très atypiques chez l’enfant.

– Barotraumatisme.
Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression (remontée mécanique, voiture) : il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille) et peut aller jusqu’à la perforation tympanique.
Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otite séromuqueuse). L’exemple le plus typique est l’otalgie provoquée par la descente très rapide du téléphérique de l’aiguille du midi à Chamonix.

Il est conseillé de faire des paliers (500 mètres) et de donner à boire à votre enfant pour la faire déglutir et ainsi détendre ses tympans.

​L’adaptation à l’altitude n’est pas anodine. Le mal aigu des montagnes (MAM) peut arriver très rapidement et vous surprendre. Je ne suis pas sûr que la décision de les amener à une telle altitude soit très sage, plus particulièrement pour votre bonhomme. Avec un enfant, qui est petit encore, ce genre d’aventure reste toujours périlleuse. Contrairement aux enfants du même âge, qui vivent depuis toujours à La Paz, vos enfants ne sont pas du tout adaptés à cette altitude. Je comprends que ce genre de conseil vous contrarie et vous allez vous dire, « de quoi il se mêle ». Ce que je comprends tout à fait, mais je vous avoue que je m’inquiète un peu, particulièrement pour votre fils dans ce voyage, qui sera certainement magnifique pour vous deux.

Pensez à la vaccination Hépatite A, éventuellement Méningocoque ACW135Y et Fièvre typhoïde. Tout le reste du calendrier vaccinal français doit être également à jour. Je songerai même à une vaccination grippe et varicelle s’ils ne l’ont pas eu.

Si vous atterrissez directement à La Paz, le risque de paludisme est inexistant (>2500m), en dessous de cette altitude une prévention peut être nécessaire.

Bonne réflexion.

Des auteurs américains (Katz et al) ont publié en 2015 une étude qui démontre une petite augmentation du risque de la MIN (mort inattendu du nourrisson) au-delà de 8000 pieds, par rapport à une altitude inférieur à 6000 pieds.

L’altitude en soi n’est à priori pas un facteur de risque de la MIN, mais probablement un cofacteur chez des bébés avec d’autres facteurs de risque comme le coucher ventral, le tabagisme passif, le Co-sleeping dans certaines ethnies ou des pathologies sous-jacentes.

Au cabinet je conseille habituellement de ne pas dépasser les 1200-1500 m chez les tout-petits avant 6 mois, mais sans preuve scientifique. Avec les 2600 – 3000 m, qui vous indiquez, vous n’êtes autour des 8000 pieds de l’étude américaine. Les randonnées dans les cirques proposent cependant des gites à une altitude convenable et vos déplacements en haute altitude se feront à pied, donc lentement.

A moins de 1000 mètres, on considère qu’il s’agit d’une altitude basse, alors qu’aux environs de 2000 mètres, on parle d’altitude moyenne.

1. Problème de température.

En hiver il faut se méfier du soleil, mais en plus du froid, surtout que votre bébé, contrairement à vous, ne bouge pas… Attention à la circulation dans les membres si vous utilisez un porte-bébé. Réservez les promenades aux meilleures heures ensoleillées de l’après-midi, mais limitez les sorties s’il gèle, surtout s’il y a du vent.

1. Hypoxie.

A 2000 mètres, l’oxygène diminue très légèrement. On ne ressent une gêne qu’à l’effort, et les bébés ne seront pas concernée. Le MAM (mal aigue des montagnes) existe au-dessus de 3000 mètres (Pic de l’aiguille du Midi). Dans ces circonstances, il faut être très vigilant, car les signes sont très atypiques chez le nourrisson et l’enfant.

1. Barotraumatisme.

Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression (remontée mécanique, voiture): il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille) et peut aller jusqu’à la perforation tympanique.

Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otite séromuqueuse). L’exemple le plus typique est l’otalgie provoquée par la descente très rapide du téléphérique de l’aiguille du midi à Chamonix.

Il est conseillé de faire des paliers (500 mètres) et donner à boire à votre bébé (sein ou biberon) pour le faire déglutir et ainsi détendre ses tympans.

Bonjour

Il risque d’y avoir en effet des soucis pour votre bonhomme. Vous ne parlez pas de la saison de votre projet.

– Problème de température.

En été il faudra il faut se méfier des coups de soleil et de la chaleur: prévoyez crème solaire, chapeau, lunettes, boisson… En hiver il faut se méfier aussi du soleil, mais en plus du froid. Réservez les promenades aux meilleures heures ensoleillées de l’après-midi, mais limitez les sorties s’il gèle, surtout s’il y a du vent.

– Hypoxie.

A partir de 2 000mètres, l’oxygène diminue très légèrement. On neressent une gênequ’à l’effort. Le MAM (mal aigu des montagnes) existe au-dessus de3 000 mètres. Dans ces circonstances, il faut être très vigilant, car les signes sont très atypiques chez l’enfant.

– Barotraumatisme.

Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression (remontée mécanique, voiture): il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille) et peut aller jusqu’à la perforation tympanique.

Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otites séromuqueuses). L’exemple le plus typique est l’otalgie provoquée par la descente très rapide du téléphérique de l’aiguille du midi à Chamonix.

Il est conseillé de faire des paliers (500 mètres) et donner à boire à votre enfantpour la faire déglutir et ainsi détendre ses tympans.

L’adaptation à l’altitude n’est pas anodine. Le MAM peut arriver très rapidement et vous surprendre tous les trois. Je ne suis par sûr que la décision de l’amener pour ce trek soit très sage. Imaginez que vous ou l’un de vous deux ait le MAM. Avec un enfant, qui reste petit encore, ce genre d’aventure reste toujours périlleuse, l’effort à fournir est forcement beaucoup plus important pour lui, et je ne suis pas sûr qu’il s’amusera autant que vous au cours de ce projet.

Je comprends que ce genre de conseil vous contrarie et vous allez vous dire, «de quoi il se mêle». Ce que je comprends tout à fait, mais je vous avoue que je m’inquiète un peu pour votre fils dans ce voyage, qui sera certainement magnifique pour vous deux.

Pensez à la vaccination Hépatite A et Fièvre typhoïde. Selon la région que vous allez visiter, le risque de paludisme passe d’inexistant (Srinagar) à extrêmement élevé (Assam, Itanagar). Tout le reste du calendrier vaccinal français doit être également à jour. Je songerais même à une vaccination contre la grippe selon la saison et varicelle s’il ne l’a pas eue.

Bonne réflexion.

On autorise les bébés à prendre l’avion à cet âge, or la cabine des avions est pressurisée comme si l’on se trouvait à 2000 mètres d’altitude. Ceci signifie que votre bébé peut aller jusqu’à 2000m sans danger.

A moins de 1000 mètres, on considère qu’il s’agit d’une altitude basse, alors qu’aux environs de 2000 mètres, on parle d’altitude moyenne.

1-Problème de température
En été, il n’y a pas à cette altitude de problèmes de froid. Les promenades à 2000 mètres sont bien sûr autorisées et il faudra beaucoup plus se méfier des coups de soleil et de la chaleur : prévoyez crème solaire, chapeau, lunettes, boisson… En hiver il faut se méfier aussi du soleil, mais en plus du froid, surtout que votre bébé, contrairement à vous, ne bouge pas… Attention à la circulation dans les membres si vous utilisez un porte-bébé. Réservez les promenades aux meilleures heures ensoleillées de l’après-midi, mais limitez les sorties s’il gèle, surtout s’il y a du vent.

2-Hypoxie
A 2000 mètres, l’oxygène diminue très légèrement. On ne ressent une gêne qu’à l’effort, et le bébé ne sera pas concerné. Le MAM (mal aigue des montagnes) existe au-dessus de 3000 mètres (Pic de l’aiguille du Midi). Dans ces circonstances, il faut être très vigilant, car les signes sont très atypiques chez le nourrisson et l’enfant.

3-Barotraumatisme
Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression (remontée mécanique, voiture) : il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille) et peut aller jusqu’à la perforation tympanique.
Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otite séromuqueuse). L’exemple le plus typique est l’otalgie provoquée par la descente très rapide du téléphérique de l’aiguille du midi à Chamonix. Vous montez lentement en randonnée, il y aura donc peu de risques.

Il est conseillé de faire des paliers (500 mètres) et donner à boire à votre demoiselle pour la faire déglutir et ainsi détendre ses tympans.

Pensez à programmer la vaccination Hépatite A qui est recommandée pour les séjours sur la Réunion.

Si vous prenez l’avion entre mi-novembre et fin mars, réfléchissez sérieusement, si vous ne voulez pas vacciner toute la famille contre la grippe. L’aéroport est un des lieux favoris de la transmissions des infections aéroportés durant l’hiver. Il serait dommage de passer une semaine au lit avec 40°C à la Réunion !

Des auteurs américains (Katz et al) ont publié en 2015 une étude qui démontre une petite augmentation du risque de la MIN (mort inattendu du nourrisson) au-delà de 8000 pieds, par rapport à une altitude inférieur à 6000 pieds.

L’altitude en soi n’est à priori pas un facteur de risque de la MIN, mais probablement un cofacteur chez des bébés avec d’autres facteurs de risque comme le coucher ventral, le tabagisme passif, le Co-sleeping dans certaines ethnies ou des pathologies sous-jacentes.

Au cabinet je conseille habituellement de ne pas dépasser les 1200-1500m chez les tout-petits avant 6 mois, mais sans preuve scientifique. Avec les 1800 m, qui vous indiquez, vous êtes en dessous des 6000 pieds de l’étude.

J’ai eu cependant plusieurs cas dans ma clientèle de parents qui ont interrompu des vacances en altitude avec des tout-petits pour des pleurs inconsolables et des troubles du sommeil en altitude.

Mais comme déjà dit, pas de niveau de preuve, juste un conseil personnel.

A moins de 1000 mètres, on considère qu’il s’agit d’une altitude basse, alors qu’aux environs de 2000 mètres, on parle d’altitude moyenne.

1. Problème de température.

En hiver il faut se méfier du soleil, mais en plus du froid, surtout que votre bébé, contrairement à vous, ne bouge pas… Attention à la circulation dans les membres si vous utilisez un porte-bébé. Réservez les promenades aux meilleures heures ensoleillées de l’après-midi, mais limitez les sorties s’il gèle, surtout s’il y a du vent.

1. Hypoxie.

A 2000 mètres, l’oxygène diminue très légèrement. On ne ressent une gêne qu’à l’effort, et les bébés ne seront pas concernée. Le MAM (mal aigue des montagnes) existe au-dessus de 3000 mètres (Pic de l’aiguille du Midi). Dans ces circonstances, il faut être très vigilant, car les signes sont très atypiques chez le nourrisson et l’enfant.

1. Barotraumatisme.

Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression (remontée mécanique, voiture): il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille) et peut aller jusqu’à la perforation tympanique.

Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otite séro-muqueuse). L’exemple le plus typique est l’otalgie provoquée par la descente très rapide du téléphérique de l’aiguille du midi à Chamonix.

Il est conseillé de faire des paliers (500 mètres) et donner à boire à votre bébé (sein ou biberon) pour le faire déglutir et ainsi détendre ses tympans.

Des auteurs américains (Katz et al) ont publié en 2015 une étude qui démontre une petite augmentation du risque de la MIN (mort inattendu du nourrisson) au-delà de 8000 pieds, par rapport à une altitude inférieur à 6000 pieds.

L’altitude en soi n’est à priori pas un facteur de risque de la MIN, mais probablement un cofacteur chez des bébés avec d’autres facteurs de risque comme le coucher ventral, le tabagisme passif, le co-sleeping dans certaines ethnies ou des pathologies sous-jacentes.

Au cabinet je conseille habituellement de ne pas dépasser les 1200-1500m chez les tout-petits avant 6 mois, mais sans preuve scientifique. Avec les 1800 m, qui vous indiquez, vous êtes en dessous des 6000 pieds de l’étude.

J’ai eu cependant plusieurs cas dans ma clientèle de parents qui ont interrompu des vacances en altitude avec des tout-petits pour des pleurs inconsolables et des troubles du sommeil en altitude.

Mais comme déjà dit, pas de niveau de preuve, juste un conseil personnel.

A moins de 1000 mètres, on considère qu’il s’agit d’une altitude basse, alors qu’aux environs de 2000 mètres, on parle d’altitude moyenne.

– Problème de température.

En hiver il faut se méfier du soleil, mais en plus du froid, surtout que votre bébé, contrairement à vous, ne bouge pas… Attention à la circulation dans les membres si vous utilisez un porte-bébé. Réservez les promenades aux meilleures heures ensoleillées de l’après-midi, mais limitez les sorties s’il gèle, surtout s’il y a du vent.

– Hypoxie.

A 2000 mètres, l’oxygène diminue très légèrement. On ne ressent une gêne qu’à l’effort, et les bébés ne seront pas concernée. Le MAM (mal aigue des montagnes) existe au-dessus de 3000 mètres (Pic de l’aiguille du Midi). Dans ces circonstances, il faut être très vigilant, car les signes sont très atypiques chez le nourrisson et l’enfant.

– Barotraumatisme.

Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression (remontée mécanique, voiture): il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille) et peut aller jusqu’à la perforation tympanique.

Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otite séromuqueuse). L’exemple le plus typique est l’otalgie provoquée par la descente très rapide du téléphérique de l’aiguille du midi à Chamonix.

Il est conseillé de faire des paliers (500 mètres) et donner à boire à votre bébé (sein ou biberon) pour le faire déglutir et ainsi détendre ses tympans.

Des auteurs américains (Katz et al) ont publié en 2015 une étude qui démontre une petite augmentation du risque de la MIN (mort inattendu du nourrisson) au-delà de 8000 pieds, par rapport à une altitude inférieur à 6000 pieds.

L’altitude en soi n’est à priori pas un facteur de risque de la MIN, mais probablement un cofacteur chez des bébés avec d’autres facteurs de risque comme le coucher ventral, le tabagisme passif, le Co-sleeping dans certaines ethnies ou des pathologies sous-jacentes.

Au cabinet je conseille habituellement de ne pas dépasser les 1200-1500m chez les tout-petits avant 6 mois, mais sans preuve scientifique. Mais même avec les 1350 m, qui vous indiquez, vous êtes largement en dessous des 6000 pieds de l’étude.

J’ai eu par contre plusieurs cas dans ma clientèle de parents qui ont interrompu des vacances en altitude avec des tout-petits pour des pleurs inconsolables et des troubles du sommeil en altitude.

Mais comme déjà dit, pas de niveau de preuve, juste un conseil personnel.

A moins de 1000 mètres, on considère qu’il s’agit d’une altitude basse, alors qu’aux environs de 2000 mètres, on parle d’altitude moyenne.

1- Problème de température.

En hiver il faut se méfier du soleil, mais en plus du froid, surtout que votre bébé, contrairement à vous, ne bouge pas… Attention à la circulation dans les membres si vous utilisez un porte-bébé. Réservez les promenades aux meilleures heures ensoleillées de l’après-midi, mais limitez les sorties s’il gèle, surtout s’il y a du vent.

2- Hypoxie.

A 2000 mètres, l’oxygène diminue très légèrement. On ne ressent une gêne qu’à l’effort, et les bébés ne seront pas concernée. Le MAM (mal aigue des montagnes) existe au-dessus de 3000 mètres (Pic de l’aiguille du Midi). Dans ces circonstances, il faut être très vigilant, car les signes sont très atypiques chez le nourrisson et l’enfant.

3- Barotraumatisme.

Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression (remontée mécanique, voiture): il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille) et peut aller jusqu’à la perforation tympanique.

Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otite séromuqueuse). L’exemple le plus typique est l’otalgie provoquée par la descente très rapide du téléphérique de l’aiguille du midi à Chamonix.

Il est conseillé de faire des paliers (500 mètres) et donner à boire à votre bébé (sein ou biberon) pour le faire déglutir et ainsi détendre ses tympans.

Des auteurs américains (Katz et al) ont publié en 2015 une étude qui démontre une petite augmentation du risque de la MIN (mort inattendu du nourrisson) au-delà de 8000 pieds, par rapport à une altitude inférieure à 6000 pieds.

L’altitude en soi n’est à priori pas un facteur de risque de la MIN, mais probablement un cofacteur chez des bébés avec d’autres facteurs de risque comme le coucher ventral, le tabagisme passif, le Co-sleeping dans certaines ethnies ou des pathologies sous-jacentes.

Au cabinet je conseille habituellement de ne pas dépasser les 1200-1500m chez les tout-petits avant 6 mois, mais sans preuve scientifique. Avec les 2300m, qui vous indiquez, vous êtes en dessous des 8000 pieds de l’étude.

J’ai eu cependant plusieurs cas dans ma clientèle de parents qui ont interrompu des vacances en altitude avec des tout-petits pour des pleurs inconsolables et des troubles du sommeil en altitude.

Mais comme déjà dit, pas de niveau de preuve, juste un conseil personnel.

A moins de 1000 mètres, on considère qu’il s’agit d’une altitude basse, alors qu’aux environs de 2000 mètres, on parle d’altitude moyenne.

1- Problème de température.

En hiver il faut se méfier du soleil, mais en plus du froid, surtout que votre bébé, contrairement à vous, ne bouge pas… Attention à la circulation dans les membres si vous utilisez un porte-bébé. Réservez les promenades aux meilleures heures ensoleillées de l’après-midi, mais limitez les sorties s’il gèle, surtout s’il y a du vent.

2- Hypoxie.

A 2000 mètres, l’oxygène diminue très légèrement. On ne ressent une gêne qu’à l’effort, et les bébés ne seront pas concernée. Le MAM (mal aigue des montagnes) existe au-dessus de 3000 mètres (Pic de l’aiguille du Midi). Dans ces circonstances, il faut être très vigilant, car les signes sont très atypiques chez le nourrisson et l’enfant.

3- Barotraumatisme.

Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression (remontée mécanique, voiture): il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille) et peut aller jusqu’à la perforation tympanique.

Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otite séromuqueuse). L’exemple le plus typique est l’otalgie provoquée par la descente très rapide du téléphérique de l’aiguille du midi à Chamonix.

Il est conseillé de faire des paliers (500 mètres) et donner à boire à votre bébé (sein ou biberon) pour le faire déglutir et ainsi détendre ses tympans.

Bonjour,

Les recommandations sont de rester autour de 1000-1200 m avant l’âge de 6 mois car le risque de mort inattendu du nourrisson et plus élevé quand on est en altitude.

En revanche, en journée vous pouvez vous promener et monter sans problème.

Le mieux est de faire dormir votre petite avec vous, dans la même chambre pendant toute la durée du séjour.

Des auteurs américains (Katz et al) ont publié en 2015 une étude qui démontre une petite augmentation du risque de la MIN (mort inattendu du nourrisson) au-delà de 8000 pieds, par rapport à une altitude inférieur à 6000 pieds.

L’altitude en soi n’est à priori pas un facteur de risque de la MIN, mais probablement un cofacteur chez des bébés avec d’autres facteurs de risque comme le coucher ventral, le tabagisme passif, le Co-sleeping dans certaines ethnies ou des pathologies sous-jacentes.

Au cabinet je conseille habituellement de ne pas dépasser les 1200-1500m chez les tout-petits avant 6 mois, mais sans preuve scientifique. Mais même avec les 1850 m, qui vous indiquez, vous êtes en dessous des 6000 pieds de l’étude.

J’ai eu par contre plusieurs cas dans ma clientèle de parents qui ont interrompu des vacances en altitude avec des tout-petits pour des pleurs inconsolables et des troubles du sommeil en altitude.

Mais comme déjà dit, pas de niveau de preuve, juste un conseil personnel.

A moins de 1000 mètres, on considère qu’il s’agit d’une altitude basse, alors qu’aux environs de 2000 mètres, on parle d’altitude moyenne.

1- Problème de température.

En hiver il faut se méfier du soleil, mais en plus du froid, surtout que votre bébé, contrairement à vous, ne bouge pas… Attention à la circulation dans les membres si vous utilisez un porte-bébé. Réservez les promenades aux meilleures heures ensoleillées de l’après-midi, mais limitez les sorties s’il gèle, surtout s’il y a du vent.

2- Hypoxie.

A 2000 mètres, l’oxygène diminue très légèrement. On ne ressent une gêne qu’à l’effort, et les bébés ne seront pas concernée. Le MAM (mal aigue des montagnes) existe au-dessus de 3000 mètres (Pic de l’aiguille du Midi). Dans ces circonstances, il faut être très vigilant, car les signes sont très atypiques chez le nourrisson et l’enfant.

3- Barotraumatisme.

Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression (remontée mécanique, voiture): il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille) et peut aller jusqu’à la perforation tympanique.

Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otite séromuqueuse). L’exemple le plus typique est l’otalgie provoquée par la descente très rapide du téléphérique de l’aiguille du midi à Chamonix.

Il est conseillé de faire des paliers (500 mètres) et donner à boire à votre bébé (sein ou biberon) pour le faire déglutir et ainsi détendre ses tympans.

On autorise les bébés à prendre l’avion à cet âge, or la cabine des avions est pressurisée comme si l’on se trouvait à 2000 mètres d’altitude. Ceci signifie que votre bébé peut aller jusqu’à 2000m sans danger. Au-delà il faut rester prudent et pratiquer des « paliers », afin de faciliter l’acclimatation à l’altitude.

Problème de température.

En hiver il faut se méfier aussi du soleil, mais en plus du froid, surtout que votre bébé, contrairement à vous, ne bouge pas… Attention à la circulation dans les membres si vous utilisez un porte-bébé. Réservez les promenades aux meilleures heures ensoleillées de l’après-midi, mais limitez les sorties s’il gèle, surtout s’il y a du vent.

Hypoxie.

A 2000 mètres, l’oxygène diminue très légèrement. On ne ressent un gène qu’à l’effort, et le bébé ne sera pas concerné. Le MAM (mal aigue des montagnes) existe au-dessus de 3000 mètres (Pic de l’aiguille du Midi). Dans ces circonstances, il faut être très vigilant, car les signes sont très atypiques chez le nourrisson et l’enfant.

Barotraumatisme.

Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression (remontée mécanique, voiture): il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille) et peut aller jusqu’à la perforation tympanique.

Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otite séromuqueuse). L’exemple le plus typique est l’otalgie provoquée par la descente très rapide du téléphérique de l’aiguille du midi à Chamonix. Il est conseillé de faire des paliers (500 mètres) et donner à boire à votre enfant (sein ou biberon) pour la faire déglutir et ainsi détendre ses tympans.

Même si votre fils a déjà 8 mois je souhaite vous faire part de l’étude suivante: des auteurs américains (Katz et al) ont publié en 2015 une papier qui démontre une petite augmentation du risque de la MIN (mort inattendu du nourrisson) au-delà de 8000 pieds, par rapport à une altitude inférieur à 6000 pieds.

L’altitude en soi n’est à priori pas un facteur de risque de la MIN, mais probablement un cofacteur chez des bébés avec d’autres facteurs de risque comme le coucher ventral, le tabagisme passif, le Co-sleeping dans certaines ethnies ou des pathologies sous-jacentes.

Enfin, et je suis conscient que ça va vous contrarier, se pose la question pourquoi vous voulez amenez votre bébé de huit mois pour une semaine au ski. Il n’en profitera absolument pas, vous beaucoup moins que sans lui. Et je suis tout à fait conscient qu’il vous manquera terriblement.

Mais je pense si vous souhaitez partir au ski vous avez l’intérêt de laisser votre bébé à sa grand-mère et de profiter pleinement du ski avec papa. Il ne vous en voudra pas, s’éclatera avec mamie et sera ravi de vous retrouver tous les deux reposés, zen, bien bronzés et en pleine forme.

Des auteurs américains (Katz et al) ont publié en 2015 une étude qui démontre une petite augmentation du risque de la MIN (mort inattendu du nourrisson) au-delà de 8000 pieds, par rapport à une altitude inférieur à 6000 pieds.

L’altitude en soi n’est à priori pas un facteur de risque de la MIN, mais probablement un cofacteur chez des bébés avec d’autres facteurs de risque comme le coucher ventral, le tabagisme passif, le Co-sleeping dans certaines ethnies ou des pathologies sous-jacentes.

Au cabinet je conseille habituellement de ne pas dépasser les 1200-1500m chez les tout petits avant 6 mois, mais sans preuve scientifique. Et avec les 1000 (-1300) m, qui vous indiquez, vous êtes largement en dessous des 6000 pieds de l’étude.

J’ai eu par contre plusieurs cas dans ma clientèle de parents qui ont interrompu des vacances en altitude avec des tout-petits pour des pleurs inconsolables et des troubles du sommeil en altitude.

Mais comme déjà dit, pas de niveau de preuve, juste un conseil personnel.

A moins de 1000 mètres, on considère qu’il s’agit d’une altitude basse, alors qu’aux environs de 2000 mètres, on parle d’altitude moyenne.

Il est conseillé de faire des paliers (500 mètres) et donner à boire à vos filles (sein ou biberon) pour les faire déglutir et ainsi détendre leurs tympans.

Problème de température.

En hiver il faut se méfier aussi du soleil, mais en plus du froid, surtout que votre bébé, contrairement à vous, ne bouge pas… Attention à la circulation dans les membres si vous utilisez un porte-bébé. Réservez les promenades aux meilleures heures ensoleillées de l’après-midi, mais limitez les sorties s’il gèle, surtout s’il y a du vent.

Hypoxie

A 2000 mètres, l’oxygène diminue très légèrement. On ne ressent une gène qu’à l’effort, et les bébés ne seront pas concernée. Le MAM (mal aigue des montagnes) existe au-dessus de 3000 mètres (Pic de l’aiguille du Midi). Dans ces circonstances, il faut être très vigilant, car les signes sont très atypiques chez le nourrisson et l’enfant.

Barotraumatisme

Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression (remontée mécanique, voiture): il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille) et peut aller jusqu’à la perforation tympanique.

Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otite séro-muqueuse). L’exemple le plus typique est l’otalgie provoquée par la descente très rapide du téléphérique de l’aiguille du midi à Chamonix.

Les bouchons ne servent à rien dans cette indication.

Il faut faire fonctionner la trompe d’Eustache pour équilibrer les pressions entre pharynx et oreille moyenne, donc mâcher ou, encore mieux, avaler.

Si votre bébé ne veut pas boire de l’eau au biberon, vous pouvez le donner au verre (bec verseur).

Il peut boire un petit bib de son lait de croissance. Je suppose que vous ne l’allaitez plus, sinon il faudrait le mettre au sein, mais vous ne vous poseriez même pas la question.

Vous pouvez lui proposer exceptionnellement un petit jus de fruits. Ca passera toujours mieux que l’eau.

Un quignon de pain, une compote ou un biscuit peut faire l’affaire.

Les otites

Pour la prévention des otites:

Lavez le nez toujours avant les repas et le coucher.

Evitez tout tabagisme passif.

Evitez la collectivité (grandes surfaces, réunions, crèche collective, halte garderie).

Respectez le calendrier vaccinal pour votre enfant. Avec les touts petits réfléchissez en début d’hiver si vous ne voulez pas vous vacciner contre la grippe pour ne pas la transmettre à votre bébé.

Sortez le plus possible en balade dans la journée, et tous les jours (parc ou forêt, pas dans les magasins).

Aérez sa chambre toute la nuit. Il dormira mieux et sera moins malade.

On autorise les bébés à prendre l’avion à cet âge, or la cabine des avions est pressurisée comme si l’on se trouvait à 2000 mètres d’altitude. Ceci signifie que votre enfant peut aller jusqu’à 2000m sans danger.

A moins de 1000 mètres, on considère qu’il s’agit d’une altitude basse, alors qu’aux environs de 2000 mètres, on parle d’altitude moyenne.

• Problème de température.

​En été, il n’y a pas à cette altitude de problèmes de froid. Les promenades à 2000 mètres sont bien sûr autorisées et il faudra beaucoup plus se méfier des coups de soleil et de la chaleur: prévoyez crème solaire, chapeau, lunettes, boisson… En hiver il faut se méfier aussi du soleil, mais en plus du froid, surtout que votre bébé, contrairement à vous, ne bouge pas… Attention à la circulation dans les membres si vous utilisez un porte-bébé. Réservez les promenades aux meilleures heures ensoleillées de l’après midi, mais limitez les sorties s’il gèle, surtout s’il y a du vent.

• Hypoxie

​A 2000 mètres, l’oxygène diminue très légèrement. On ne ressent un gène qu’à l’effort, et le bébé ne sera pas concerné. Le MAM (mal aigue des montagnes) existe au-dessus de 3000 mètres (Pic de l’aiguille du Midi). Dans ces circonstances, il faut être très vigilant, car les signes sont très atypiques chez le nourrisson et l’enfant.

• Barotraumatisme

​Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression (remontée mécanique, voiture): il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille) et peut aller jusqu’à la perforation tympanique.

Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otite séromuqueuse). L’exemple le plus typique est l’otalgie provoquée par la descente très rapide du téléphérique de l’aiguille du midi à Chamonix.

Il est conseillé de faire des paliers (500 mètres) et donner à boire à votre enfant pour la faire déglutir et ainsi détendre ses tympans.

Bonjour,

L’altitude en soi n’est à priori pas un facteur de risque de la MIN, mais probablement un cofacteur chez des bébés avec d’autres facteurs de risque comme le coucher ventral, le tabagisme passif, le Co sleeping dans certaines ethnies ou des pathologies sous-jacentes.

Des auteurs américains (Katz et al) ont publié en 2015 une étude qui démontre une petite augmentation du risque au delà de 8000 pieds par rapport à inférieur à 6000 pieds.

Au cabinet je conseille habituellement de ne pas dépasser les 1200-1500m chez les tout petits avant 6 mois, mais sans preuve scientifique. Et avec les 1550m, qui vous indiquez, vous êtes largement en dessous des 6000 pieds de l’étude.

J’ai eu par contre plusieurs cas dans ma clientèle de parents qui ont interrompu des vacances en altitude avec des touts petits pour des pleurs inconsolables et des troubles du sommeil en altitude.

Personnellement, avec un bébé de deux mois, je ne partirais pas en vacances de ski. Mais comme déjà dit, pas de niveau de preuve juste un conseil personnel.

Prévoyez de lui faire établir son propre passeport ou faites la figurer sur le passeport d’un de ses parents. La carte d’identité n’est valable que pour les bébés ressortissants français pour un déplacement en Union européenne. Le livret de famille ne constitue pas une pièce d’identité. Elle peut prendre l’avion puisqu’elle a plus de 3 semaines. Il n’y a pas de risque particulier, à cet âge.

Tout au plus votre fille risque de pleurer, si elle trouve le temps long et n’apprécie pas l’environnement du voyage, qu’elle va découvrir ; si elle pleure, prenez la le plus possible dans les bras pour la bercer, et éventuellement lui donner à boire. N’oubliez pas son doudou, et de quoi la changer. Pour les vols longs, les compagnies proposent habituellement un berceau fixé contre la paroi de la cabine (il faut le préciser à l’achat du billet).

Lors du décollage mais encore plus au moment de l’atterrissage, prévoyez de lui donner à boire au sein ou au biberon (en préparant le biberon juste au moment de lui donner) ou donnez lui une tétine : la déglutition permet de détendre les tympans, soumis aux variations de pression, ce qui peut être douloureux.

Le barotraumatisme est dû à une variation rapide d’altitude et de pression : il se traduit par des otalgies (douleurs de l’oreille). Il est favorisé par les pathologies ORL (rhinopharyngite en cours, répétées, antécédents d’otites aigues, otite séro-muqueuse).

Si votre fille a peu d’antécédents ORL, cette manifestation est peu probable.

Si elle a passé l’hiver en crèche, il faut être plus vigilant. Il est donc conseillé de consulter un médecin ORL pour vérifier ses tympans et éventuellement lui donner un traitement avant le voyage.

Donner à boire à votre enfant (sein ou biberon) pour la faire déglutir et ainsi détendre ses tympans.